Pour celui qui a atteint la cessation complète, il n’y a plus de redevenir ni de renaissance. Le terme mort n’est jamais employé pour désigner la fin de vie d’un Arahant ni d’un bouddha ni d’un bouddha solitaire. En outre, la notion « entièrement éteint » est aussi employée pour qualifier l’état mental d’un Bouddha, d’un Bouddha solitaire et d’un arahant.