Margaret avait pris la bonne décision. Elle le savait. Elle avait porté le deuil durant six ans, cela suffisait. Elle avait le droit d’être heureuse. Surtout, son fils avait le droit de grandir sous l’influence d’un homme bien. D’un homme bon. D’un homme qui n’avait pas été rendu aigri par la défaite.