À Venise comme à Paris, comme à Versailles, quelques femmes bien nées pouvaient avoir un amant, et s’il n’était que de cœur c’était encore mieux, mais l’amant devait être agréé par la famille et la société. Il était, pour un temps, cet amant un rien contestable mais toléré parce qu’il était proche d’un roi puissant.