Par-delà l'expérience acquise dans la solitude de son atelier, s'étant déclaré être « élève de soi-même » sa grande inspiratrice et son maître, c'est la nature, « ... cette belle et si grande nature que tout artiste sincère doit vénérer ». (...) lorsque Vollart lui demande comment il a réussit à faire circuler tant d'air parmi les arbres d'un tableau, il lui répond avec simplicité : « Par l'observation de la nature, monsieur Vollard ».
... Dora Vallier démontre comment, (..) Rousseau eut recours, à partir de 1891, au pantographe, après qu'il eût utilisé les décalques, au début. (...) il pouvait réaliser sa composition en évitant les difficultés du dessin.