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Il se plaignait souvent de son père qui, disait-il, l’empêchait de faire tout ce qu’il aimait aller dans les champs, nager dans le fleuve et pêcher. (…..) « Il me bat pour un oui pour un non. S’il me voit pieds nus à la maison, une baffe. S’il me parle et que je tourne la tête par hasard, une autre baffe. Si je crie ou que je pleure parce qu’il me bat sans que je comprenne pourquoi, une troisième baffe pour que je m’arrête ! »