Aussitôt qu’il se fut assis sur une natte près du seuil de la porte, une jeune personne, sa future épouse, lui apporta dans une calebasse un peu d’eau et, se mettant à genoux devant lui, le pria de s’en laver les mains. Lorsqu’il eut fini, la fille, dans les yeux de qui roulait une larme de joie, avala l’eau ; cette action était considérée comme la plus grande preuve qu’elle pût donner à son amant de son attachement et de sa fidélité.