La musique, la littérature, les arts, les sports : des choses qui ne sont pas essentielles à notre survie, mais qui contribuent à enrichir notre vie et à nous élever à un niveau que les animaux ne peuvent pas atteindre.
Il est facile, peut-être même légitime, de voir dans la réponse du roi une apologie de la consommation et de l’extravagance, ou une manière de justifier l’excès dans lequel vivent les privilégiés de la société. Mais Lear va ici au-delà des préoccupations du moment et met le doigt sur une question de portée universelle.