- (...) je suis désolé de vous avoir jeté des cailloux quand j'étais petit.
- Bah, ça non plus, t'y es pour rien. Un enfant choisit pas de jeter des cailloux sur un infirme.
- Pourquoi il le fait, alors ? Pourquoi je l'ai fait, moi et les autres ?
(...)
- Parce qu'il faut beaucoup grandir dans sa tête pour être libre de ses actes. Et encore, certains le sont jamais.
(p. 80)