Pauvre de naissance, un peu demeuré sinon vaguement crétin, Pierre Izard dont le nom pâlissait sur la tombe, n’avait eu dans sa vie que ses bras de forçat, son cou de taureau et son misérable dos à louer à la journée, que les fermiers des environs employaient à tour de rôle aux travaux éreintants.
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