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Critiques de Myriam Thibault (12)
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Paris, je t’aime

L’Arc de Triomphe, la Butte Montmartre, l’Ile Saint-Louis, le Café Flore, la Cathédrale Notre-Dame, cimetière Montparnasse, le Jardin des Tuileries… tous autant d’endroits qui font rêver. Paris, la belle, la magnifique, la grande. Les acteurs de ce recueil de nouvelles l’habitent, la rêvent, l’adorent. Ils l’ont choisi pour lieu de vie, un endroit où l’on pose ses bagages. J’ai choisi ce titre parce que moi aussi je l’aime, je l’ai habité trop peu de temps et je m’ennuie, beaucoup. Flâner, sans but précis, où les pas nous mènent, dans les petites rues comme dans les grandes artères.

Avec sa plume, Myriam Thibault nous fait sentir tout son amour pour Paris. Ses descriptions sont des cartes postales et pour qui ont eu la chance d’y mettre les pieds, ses mots nous ramènent exactement à ses endroits qui meublent son roman. J’ai apprécié ma lecture, qui m’a fait voyager, même si quelques fois, l’écriture est maladroite, même un peu enfantine. Mais n’oublions pas qu’elle avait 16 ans lors de la parution de ce bouquin. Il faut saluer l’audace de publier à cet âge. Et puis, c’est bon et ça annonce une belle carrière littéraire, j’en suis certaine.

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Paris, je t’aime

Paris, ville désirée, ville aimée! Cri d’amour pour une ville de rêve d’autant plus souhaitée qu’elle est multiple, fantasque et dangereuse. C’est le lieu de toutes les passions, de toutes les tentations et de tous les possibles pour les personnages qui y jouent leurs destins. A eux tous, ils forment le kaléidoscope des onze chapitres qui composent ce recueil écrit par une jeune fille de seize ans particulièrement douée.



J’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce livre. Il a la fraîcheur des premières œuvres et j’ai toujours une grande tendresse pour les premiers romans, parfois un peu maladroits mais souvent aussi très prometteurs comme l’est celui-ci. Il est si riche, si plein de références qu’il m’est un peu difficile d’en parler, d’autant plus que d’autres blogs l' ont déjà très bien fait, avec enthousiasme et délicatesse: ICI et ICI.

(...)

Une lecture bien agréable!
Lien : http://liratouva2.blogspot.c..
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Plagiat

Un roman court et paradoxalement trop long, trop plat, sans vraie originalité alors que le thème aurait mérité d'être étoffé et la fin (la bataille contre la femme du narrateur) plus travaillée. Le récit souffre de trop nombreuses longueurs inutiles (pourtant le roman ne fait que 160 pages!) et les passages s'enchaînent sans fluidité. Le style littéraire, sans être mauvais, est peut-être un peu trop simpliste et manque de vocabulaire. De plus, certaines phrases sont franchement maladroites (un exemple "Une femme est plus facilement séduite par un écrivain qui lui donne des émotions que par un boucher qui lui vend de la viande, aussi tendre soit-elle" en page 15) ou toutes faites ("La vie n'est finalement faite que de détails signifiants" en page 25). Mais c'est surtout par le manque de rigueur que j'ai été stupéfaire... Certaines erreurs temporelles sont franchement grotesques alors que l'histoire n'a rien de compliqué au point de se permettre ces dernières. Par exemple, quand le narrateur quitte la ville de La Baule en direction de celle de Monaco, il est précisé en page 42 que c'est la "mi-septembre", il roule sans s'arrêter et arrive un soir chez ses parents à Monaco, il va se coucher et le lendemain matin en prenant son petit-déjeuner il est écrit "il fait déjà chaud ce matin, en plein mois d'octobre, c'est assez incroyable" (page 59). Encore une erreur dû à ce manque de rigueur: le narrateur dit faire "une crise de la quarantaine", on s'imagine donc qu'il a environ 40 ans, alors que son fils en a 25 (page 68) ! Il l'a donc eu à 15 ans avec sa femme qu'il a rencontré après un concert alors qu'elle était étudiante (références à ses séjours à Shanghai et aux Etats-Unis pendant ses études). Je n'ai pas tout relevé mais j'ai quand même senti un manque de crédibilité général.



Ne croyez pas que je cherche la petite bête, c'est juste que j'ai une lecture très concentrée si fait que ce genre de détails me sautent aux yeux.



"Plagiait" est pour ma part un roman qui manque de rigueur, de maturité et d'originalité. Je ne pourrais vous en conseiller la lecture.
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Françoise Sagan - Duetto

Passionnée de littérature, Myriam Thibault a découvert Françoise Sagan un peu par hasard à l'âge de douze ou treize ans. Dans la foulée, elle a lu toute l'oeuvre de l'auteure de « Bonjour Tristesse » et de « La chamade ». Passionnée par la petite musique si particulière de Sagan, elle se dit capable de reconnaître entre mille autres son style léger si personnel. Myriam Thibault trouve tout aussi géniale son œuvre théâtrale et estime que c'est elle qui l'a amenée à entrer elle aussi en écriture. Cerise sur le gâteau, elle a eu l'immense chance de pouvoir rencontrer Denis Westhoff, fils de l'écrivaine et photographe de son état.

A la lecture de ce court panégyrique de Françoise Sagan, le lecteur peut à juste titre se demander pourquoi les éditions « Nouvelles Lectures » ont publié ce genre de texte sans le moindre intérêt anecdotique ou littéraire et l'ont proposé en libre accès sur les plate-formes de distribution (encore heureux !). Myriam Thibault adore Sagan. Grand bien lui fasse. Des goûts et des couleurs on ne discutera pas. Mais on n'empêchera pas le lecteur de penser que cette charmante déclaration d'amour aurait aisément pu rester nichée au creux des pages de son journal intime.
Lien : http://lemammouthmatue.skyne..
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Orgueil et désir

Myriam Thibault était présente au dernier Salon des Dames à Nevers, une charmante jeune personne toute douce. Pour le titre, j’ai acheté son livre.



Attention, nous sommes en plein monde bo-bo et, de surcroit, sur leur territoire : le Marais ! Posez vos gros sabots pour des escarpins marqués ! Je me moque, je me gausse, mais bon Paris est le décor et le 3ème personnage !

Passons aux personnages principaux :

Lui, présentateur de télé, connu pour son ironie et son arrogance tombe en arrêt, tel un chien de chasse, devant cette mystérieuse jeune femme assise à la table contigüe. Il est bo-bo, ne fréquente que les quartiers et restaurants chics, s’habille chez Zadig et Voltaire, vous voyez le genre ! Il faut lui reconnaître une certaine honnêteté vis-à-vis de sa petite personne.

Elle, Daphné jeune femme habitant ce fameux quartier, cultivant le chic simple Qui vient de divorcer donc pas très sûre d’elle et de son pouvoir.



C’est étrange, il s’appelle lui, n’a pas de prénom. Donc lui, sûr de son pouvoir de séduction, décide de suivre cette belle inconnue et de la séduire. Nous les accompagnons jusqu’à ce que ce soit elle qui prenne la direction des opérations.



L’orgueil, la morgue, la satisfaction de soi sont, pour moi, les grands gagnants de ce petit livre pas mièvre pour un sou. Le ton, vif et alerte est généré par des phrases courtes. Les traits des deux personnages sont un peu outrés, un peu « trop », mais la magie et l’espoir opèrent. En lisant ce livre, j’ai oublié totalement le jeune âge de l’auteure.



Gageons que nous retrouverons rapidement Myriam Thibault dont c’est le second livre. C’est tout le bonheur que je lui souhaite.


Lien : http://zazymut.over-blog.com..
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Orgueil et désir

Un homme, jeune, beau, branché, suit dans les rues huppées de Paris une femme, belle, désirable, un peu plus âgée que lui. Mais il ne s’agit pas là du 10,000e roman d’auto-fiction d’un apprenti littérâtre en quête d’adoubement (lequel gagne son poids en champagne tiède ainsi que le dictionnaire intégral de l’Académie française, on l’applaudit), mais du premier roman d’une toute jeune fille, puisque Myriam Thibault n’a que dix-sept ans. Son jeune âge – ou son talent précoce, l’avenir nous le dira –, confère à ce récit pourtant peu original une certaine fraîcheur et fait de Orgueil et Désir un très bref roman somme toute agréable à lire. Toutefois, on s’interroge : les références à la tendance, vestimentaire, « intellectuelle », sociale, abondent avec un détachement que l’on soupçonne d’être affecté. Tout cela sent la complaisance mise en abîme, le « je vous critique, mais en même temps, j’aimerais quand même bien en être, du milieu ». Bref, l’adolescence.
Lien : http://prixvirilo.com/2011/0..
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Paris, je t’aime

Est-il encore possible d’écrire quelques lignes sur Paris, je t’aime après ce billet? J’ai pensé que non, puis que oui, puis que non encore. Puis que oui. C’est possible, mais peut-être pas facile. Ce qui ne m’empêchera nullement de vous faire part de mes impressions sur ce recueil de nouvelles d’une auteure qui vient tout juste d’avoir 17 ans.



D’abord, il faut que je vous dise, j’ai eu le privilège de lire avant la publication de Paris, je t’aime la nouvelle intitulée « Une journée boulevard Saint-Germain ». Une nouvelle que j’avais beaucoup aimée et qui faisait que j’avais hâte que ce livre paraisse. Dans celle-ci comme dans toutes les nouvelles qui forment ce recueil, Myriam Thibault fait le tour d’un personnage, l’examine de près, ne le lâche pas d’une semelle. Puis, quand elle en a fini avec lui, elle nous laisse sur une dernière image, une image figée comme peut l’être une photo, une image qui ne nous quitte plus. Une image bien parisienne puisqu’il s’agit ici d’un recueil où Paris est le personnage principal. Paris et ses multiples personnalités, encore plus nombreuses que ses arrondissements et dont seules quelques-unes nous sont dévoilées.



Car raconter Paris et ceux qui y vivent est un projet inépuisable. Patrick Modiano a fait cela toute sa vie, Léon-Paul Fargue le temps d’une longue promenade, Frédéric Andréi le temps d’un film. Les peintres n’ont cessé de le raconter en multipliant les couleurs, les compositeurs de l’aduler, Offenbach le premier, et nombre d’interprètes de le chanter.



Myriam Thibault est elle aussi tombée sous le charme de cette ville qui ne dort jamais, au charme parfois trouble et aux visages inquiétants, voire louches; une ville où certains paradent alors que d’autres s’y perdent. Une ville qu’on quitte parfois ou pour laquelle on quitte tout.



Une ville qu’elle a sûrement longuement arpentée avant d’examiner ceux qui la font vivre ou qui y meurent. Ceux-là qui deviendront sous sa plume des personnages. Des personnages qui ne sont pas sans rappeler ceux qu’on invente, par jeu, assis sur un banc à force de les scruter, de tenter de percer leurs secrets à partir d’un regard, d’un objet, du livre dont l’un ou l’autre tourne les pages, dans la nonchalance de certains gestes ou la nervosité de certains autres, dans un souci du détail qui prend le pas sur le reste. Des personnages que Myriam nous raconte simplement mais de façon si vivante qu’on se plait à imaginer qu’on pourrait les croiser au hasard des rues de Paris.



Une belle entrée en littérature pour cette jeune femme qui a trouvé en Paris une muse.
Lien : http://lalitoutsimplement.co..
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Orgueil et désir

Dans les rues de Paris, un jeune chroniqueur télé tombe sous le charme d'une femme qu'il aperçoit marcher tranquillement. Il décide de la suivre afin d'en apprendre plus sur elle, ses habitudes... mais il se fait repérer et s'enfuit.



Daphné vient de divorcer depuis peu. Lorsqu'elle croise le regard de cet homme qui s'enfuit, elle n'a plus qu'une obsession, le retrouver. Va-t-elle y parvenir ?



Mon avis : Ce livre, bien écrit, de 104 pages se lit très facilement. C'est le premier roman de cette auteur de 17 ans qui décrit parfaitement l'incapacité à exprimer ses sentiments ainsi que l'orgueil des personnes.
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Orgueil et désir

Avis écrit en septembre 2012



C'est l'histoire d'un jeune chroniqueur de télévision qui aime suivre - pour son simple plaisir - les femmes croisées dans la rue. Un jour une de ses filatures devient plus qu'une femme parmi tant d'autres... Elle lui semble si attirante qu'il ne peut s'empêcher de la quitter jusqu'au moment où elle le remarque à son tour. Le suiveur devient alors le suivi. Pendant un long moment aucun d'entre eux ne va faire le premier pas, lequel va se dévoiler ? Quelle est cette attirance, ce mode de communication ?



Mon avis : un premier roman de 104 pages d'une jeune auteure de 17 ans. Très bien écrit, il se lit rapidement et relate les sentiments que peuvent entretenir les hommes avec les femmes...
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Plagiat

Plagiat raconte l'histoire d'un écrivain "légèrement désabusé" sur sa vie de couple (voire sur sa vie tout court, il donne l'impression d'être assez blasé sur tout ce qui l'entoure). Il aime sa femme, enfin au début, maintenant il s'est habitué à elle comme on s'habitue à sa moquette. En clair: c'est la routine, et il ne va pas s'en plaindre. Seulement, sa chère épouse n'est pas de son avis, et malgré toutes ces années, parvient à le surprendre en le quittant du jour au lendemain, sans même lui laisser un mot (par contre, le chien est toujours là).

C'est là que commence son aventure affective. Passant du désespoir puis à la colère, notre héros décide de se venger de cette séparation trop soudaine en écrivant son prochain roman sur sa femme, se basant sur de vieilles lettres d'amour qu'elle lui avait envoyé alors qu'ils n'étaient pas encore mariés. Un pari risqué pour l'écrivain car les répercussions seront lourdes.



On avait quitté une jeune demoiselle, avec Plagiat, on découvre une Myriam Thibault mature mais également adulte (oui, il y a une différence). D'un style direct, simple et droit, elle arrive à décrire dans les moindres détails toute l'avalanche de sentiments qui suit une séparation non désirée: le sentiment d'abandon, la tristesse, la colère, la haine, le désir de vengeance, les regrets et finalement la lassitude et l'oubli. Ici, rien n'est laissé au hasard, et notre personnage principal nous amuse et nous attriste tant il nous paraît crédible et humain.

Avec ce nouveau roman, l'écrivain nous surprend par ce changement de registre (mince alors, où sont passées les descriptions de la capitale?) si bien contrôlé. Elle reste, cependant, fidèle à elle-même et continue de nous faire rire en glissant ça et là des références (humoriste, série télévisé, etc.) beaucoup plus discrètes que dans sa première oeuvre.

Plagiat est un excellent roman sur les sentiments et les catastrophes qu'ils peuvent provoquer quand ils prennent le pas sur la raison. Ici pas de morale, pas d'avis personnel, juste un exemple. Simple, mais efficace.

On se dit rendez-vous à la rentrée littéraire 2013, alors?
Lien : http://histoire-de-pages.blo..
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Plagiat

Le narrateur de Plagiat est un écrivain qui fait parfois l'acteur, c'est un beau gosse. Quand sa femme le quitte, il se retrouve désemparé alors qu'il ne prêtait plus guère qu'une attention lointaine à sa femme. Pris à la gorge par le contrat qui le lie à sa maison d'édition et qui stipule qu'il doit écrire un livre par an, il se décide à utiliser les lettres que lui écrivît sa femme.



Ce roman parle beaucoup plus des errances d'un homme quitté que de plagiat. D'ailleurs, je ne m'attendais pas à cette forme de plagiat qui consiste à utiliser des lettres personnelles et à les changer un peu. Vous savez à quel point les errances des quadras ou quinquas m'agacent, je n'ai donc pas trouvé mon plaisir dans la lecture de ce court roman. Et certaines vérités générales (fausses en plus) m'ont agacée:



Combien de fois j'ai entendu Stéphanie râler contre la pluie à cause de ses cheveux. Les femmes me font sourire. Elles attachent de l'importance à de menus détails auxquels nous, gent masculine, n'aurions jamais fait attention.
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Orgueil et désir

Orgueil et Désir de Myriam Thibault, édition Léo Scheer.



Et ouais, sitôt acheté sitôt lu. C'est que je l'attendais moi ce premier roman de Myriam Thibault (elle a pas honte de nous faire patienter comme ça?)!

Nous l'avions quitté, la dernière fois avec l'envie de voir ce qu'elle valait en "version longue". Voyons ce que ça donne, maintenant.



Première surprise, le livre ne fait que 104 pages, ça alors, même ses nouvelles comptaient plus de pages (125)! Attends mais c'est trop court! Qu'est-ce que tu veux qu'elle nous raconte avec aussi peu de pages? Une histoire simple: un mélange de cache-cache et de chasse entre un jeune chroniqueur à la recherche du célibat éternel, et Daphné, une femme tout juste divorcée, écrivain à ses heures perdues qui vit dans l'angoisse que sa petite fille ne l'aime plus. Course poursuite discrète qui nous promène dans Paris le temps d'une journée. Ils s'attirent mutuellement, c'est indéniable, mais vont-ils réussir à ravaler leur fierté et à envisager une relation? Je n'en dis pas plus, vous n'avez qu'à le lire.



Le style de Myriam Thibault est toujours aussi bon (à quand le roman de Quelques saisons plus tard ?), on ressent une maturité qu'on est ravi de découvrir, deuxième bonne surprise. Les descriptions sont toujours aussi précises et là les deux personnages sont attachants, drôles et vrais. L'idée de rentrer une fois sur deux dans la tête du chroniqueur est bien trouvée, surtout quand on sait qu'il a un caractère aussi parfait question cynisme. La troisième surprise concerne de nouveau les pages: on est surprit de ne pas avoir à dire "c'est tout?", à la fin de sa lecture. L'auteur a réussit le pari de ne pas nous laisser sur la fin, c'est pile ce qu'il fallait comme pages pour nous combler.



Hum? Les marques? Bien sûr qu'il y en a, sinon ce ne serait pas digne de Myriam Thibault voyons. Il y en a pleins mes amis! Mais là, ça passe tout seul. On ne grince pas des dents une seule fois. Mince alors, même pas l'occasion de se plaindre pour le plaisir.



En bref: Orgueil et Désir mérite bien son prix du premier roman (La Forêt des Livres 2011). L'écrivain (oui, maintenant on a le droit de dire écrivain) a même réussit le miracle de me faire lire en marchant (manquant un écrasement, les crottes de chien et les poteaux de peu. La lecture a ses risques.), ce qui arrive très rarement vu mon côté "jamais content".



Non, je ne vais pas dire "bravo", même si le livre est marqué en coup de coeur et même si je suis ravie de l'avoir lu. Pas que mademoiselle Thibault ne le mérite pas, juste que ce serait trop bête de s'arrêter en si bon chemin.


Lien : http://histoire-de-pages.blo..
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