Citation de gill
Minuit vient de sonner à la grosse horloge de la vieille église St Nazaire de Foix. Le carillon grêle de l'abbaye de Saint-Volusien lui a répondu comme un céleste écho, épandant la sérénité sur la petite cité endormie.
La silhouette crénelée du chateau aux deux tours élancées se profile sur le firmament scintillant d'étoiles, lumineux ciel d'hiver pyrénéen.
Nous sommes en décembre de l'an de grâce mil trois cent trente et un, en la nuit de Saint-Nicolas.
Derrière les murailles sombres du palais des comtes de Foix qui dresse sa masse trapue en contrebas de la forteresse féodale, sourd une étrange rumeur.
Des lueurs et des reflets insolites courent d'une extrémité à l'autre de la bâtisse, s'entrecroisant ; certaines fenêtres s'illuminent soudain, des ombres s'agitent puis disparaissent, des appels assourdis retentissent.
Une poterne s'ouvre.....
(extrait du chapitre premier de l'édition de poche parue en 1979)
La silhouette crénelée du chateau aux deux tours élancées se profile sur le firmament scintillant d'étoiles, lumineux ciel d'hiver pyrénéen.
Nous sommes en décembre de l'an de grâce mil trois cent trente et un, en la nuit de Saint-Nicolas.
Derrière les murailles sombres du palais des comtes de Foix qui dresse sa masse trapue en contrebas de la forteresse féodale, sourd une étrange rumeur.
Des lueurs et des reflets insolites courent d'une extrémité à l'autre de la bâtisse, s'entrecroisant ; certaines fenêtres s'illuminent soudain, des ombres s'agitent puis disparaissent, des appels assourdis retentissent.
Une poterne s'ouvre.....
(extrait du chapitre premier de l'édition de poche parue en 1979)
