« Joachim revoyait le bon visage du moine, il se souvenait de son père, de son frère ; mais pour une raison qu’il ne s’expliquait pas, la physionomie de sa mère avait disparu de sa mémoire . Comme il le faisait souvent , il tâta, cousu dans sa pelisse , le triangle de métal qu’elle lui avait donné avant qu’il s’en aille . Toucher ce qu’Alika avait touché , c’est tout ce qu’il pouvait faire pour lutter contre l’oubli: il devait s’en contenter . »