Aucun sortilège ne changerait le fait que la valeur d’une femme se mesurait, avec une application scientifique, par le sang. Une femme ne valait que les gouttes qui coulaient la nuit de ses noces, les quelques millimètres qu’elle saignait à chaque lune, et la petite rivière qu’elle versait en donnant naissance aux enfants de son époux.