Arrivée en haut des escaliers, je jette un coup d'oeil dans le corridor qui mène vers le salon. Personne. Je m'avance précautionneusement, le bâton serré contre moi. Lentement, très lentement , je penche la tête dans l'embrasure de la porte du salon. Puis je me recule immédiatement, le coeur battant.
Il y a un homme ! Il y a réellement un homme dans le salon.
Je jette un coup d'oeil.
Hum. Un bel homme, si j'en crois mon impression initiale.
On ne fait plus les cambrioleurs comme avant.