A la mémoire de Katia Bengana (lycéenne de 17 ans) et d'Amel Zenoune Zouani (étudiante de 22 ans), exécutées par des islamistes en Algérie en 1994. La première fut criblée de balles, la seconde égorgée. Leur crime : avoir refusé de faire le "libre choix" du voilement de leurs cheveux, de leurs oreilles et de leur cou.
A toutes celles et ceux qui prétendent que le voile ne serait qu'un simple "foulard" : que le sang de ces victimes et de toutes les autres, menacées, emprisonnées, molestées ou assassinées parce qu'elles ont refusé de se plier à cette discrimination sexiste, entache de honte votre relativisme.