AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

4.16/5 (sur 161 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Biographie :

Nancy Tucker est née et a grandi dans l'ouest de Londres. Elle a passé la majeure partie de son adolescence dans et hors de l'hôpital souffrant d'anorexie mentale. À la sortie de l'école, elle écrit son premier livre, THE TIME IN BETWEEN (Icon, 2015) qui explore son expérience des troubles alimentaires et du rétablissement. Son deuxième livre, C'ÉTAIT QUAND LES GENS COMMENÇAIENT À S'INQUIÉTER (Icon, 2018), traitait plus largement de la maladie mentale chez les jeunes femmes.
Diplômée de l’université d’Oxford en psychologie expérimentale, Nancy Tucker travaille au sein d’une unité de soins psychiatriques au Royaume-Uni. Le Premier Jour du printemps est son premier roman.

Source : Amazon
Ajouter des informations
Bibliographie de Nancy Tucker   (1)Voir plus

étiquettes
Videos et interviews (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de

"Le premier jour du printemps" de Nancy Tucker est un premier roman à la fois puissant, terrible et captivant... Il a été traduit de l'Anglais par Carine Chichereau et est en cours de traduction dans de nombreux pays. Un un roman coup de poing... bit.ly/LePremierJourDuPrintemps


Citations et extraits (43) Voir plus Ajouter une citation
Mais s'ils croient que t'as pas de papa, je peux avoir de l'argent parce que je m'occupe de toi toute seule.
- Mais tu t'occupes pas de moi.
- Fous le camp, Chrissie !"
Commenter  J’apprécie          250
J'avais envie de lui dire que depuis que j'avais tué Steven, je me sentais vachement plus en sécurité qu'avant parce que c'était de moi que les gens devaient se méfier, et être celle dont il fallait se méfier, y avait rien de plus sécurisant.
Commenter  J’apprécie          210
" Rentre chez toi, ma petite. Ta maman doit se demander où tu es passée;
- Ça, non, j'ai répondu.
- Bon, rentre chez toi regarder la télé.
- Ya pas l' électricité."
Commenter  J’apprécie          210
On allait toujours à la messe tous les dimanches. Maman aimait bien le bon Dieu, même si moi, elle m'aimait pas.
Commenter  J’apprécie          180
Haverleigh était certes un " Foyer ", mais du genre qui prend une majuscule et que borde une haute clôture - un endroit réservé aux enfants trop méchants pour qu'on les laisse dans leur " foyer " avec une minuscule.
Commenter  J’apprécie          160
J'ai cherché un stylo dans mon sac. Le plâtre de Molly était posé sur la tablette et je l'ai bougé doucement, sans la réveiller. Il n'y avait plus beaucoup d'espace libre, mais j'ai trouvé un endroit assez grand pour y écrire mon nom.
Maman.
Commenter  J’apprécie          140
Quand la gardienne est revenue pour nous ouvrir le portail, nous avions été rejointes par une armée de mères et de gamines, ce qui m’a rappelé pourquoi j’avais mis en place le plan antimères. Elles se regroupaient les unes contre les autres, parlaient à toute vitesse, éclataient de ces rires qui me vrillait les oreilles. J’éprouvais toujours la même sensation en me retrouvant au milieu d’elles : celle d’être déguisée, et d’appartenir en réalité à une autre espèce.
Commenter  J’apprécie          90
Je donnais à Molly des petites pastilles de chocolat de ce paquet violet que je gardais toujours dans mon sac pour les cas d’urgence. Elle semblait satisfaite d’être allongée là tandis que je lui glissais les pastilles dans la bouche l’une après l’autre, et ce défilé de bonbons signifiait que je pouvais continuer à la gâter ainsi, sans interruption, sans que se présente la nécessité de remplir le vide avec des mots.
Commenter  J’apprécie          90
....mais maman l’a interrompue : ”vous voulez adopter un gosse ?” La belle dame a hoché la tête tout en prenant un mouchoir propre dans la boîte posée sur le bureau. Maman m’a attrapée par le coude, si brusquement que j’ai renversé mon sirop à l’orange sur moi. Elle m’a poussée vers elle et elle a dit : ”c’est Chrissie. Elle est à moi. Mais elle est bonne à adopter. Vous pouvez la prendre”.
Commenter  J’apprécie          90
L'après-midi, je me baladais dans les rues avec un bâton que je raclais contre les murs en brique et les grilles, tap-tap-tap. Dés fois, je m'arrêtais et je regardais la télé par la fenêtre d'un salon. Quand je frappais aux portes, les mamans disaient que leurs gosses n'avaient pas le droit de sortir, et que moi non plus je devrais pas être dehors. " Ouais, mais j'y suis ", je répondais.
Commenter  J’apprécie          90

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Nancy Tucker (214)Voir plus

¤¤

{* *}