Le combat ne cesserait pas de lui-même. La brute n’allait ni gagner en maturité, ni reconnaître ses erreurs, ni apprendre à aimer l’autre. Il conserverait sa haine jusqu’à la mort. Et il se battrait jusqu’à la mort. Et, à moins de le tuer, ou de le battre jusqu’à ce qu’il croie que nous l’avions tué, nous n’aurions ni trêve, ni paix, ni tranquillité.