“ Les dieux de la pluie et de la verdure avaient abdiqué en faveur de ceux de la chaleur et du désert. [….] Des roniers, les panaches qui couronnaient les stipes altiers s’effilochaient tandis que les capockiers effeuillés confiaient leurs bourres au courrier de l’harmattan. [...]L’air surchauffé se muait tantôt en mirages dansants, tantôt en innombrables geysers d’or diffusés dans l’atmosphère avec un tremblotement qui agaçait la vue. ”