Pour Yachar Kémal, le progrès technique n'implique pas nécessairement le bonheur de l'homme. Bien au contraire, dans le cas précis de la Tchoukourova, il signifie souvent la disparition de la loyauté, la dislocation des familles et la mort de la nature. Ce déclin engendre un monde nouveau qui est loin d'assurer, selon l'auteur, les valeurs éthiques de l'ancien monde.
[Nedim GÜRSEL, "Yachar Kémal. Le roman d'une transition", L'Harmattan, 2001, page 39]