(...) j'en concluais que, de manière générale, la souffrance était une sensation relative, d'autant plus âprement ressentie qu'elle était confrontée à la félicité. Etant donné que la vallée et ses habitants étaient à cette époque enchaînés dans les fers de l'affliction, que mon propre lot de chagrin parût considérablement plus léger ne me surprenait guère.