Lorsque le voyageur-arpenteur est parvenu à se débarrasser à la fois de l'attendrissement gobeur et de l'amertume rugueuse que suscite si souvent "l'estrangement", et à conserver un lyrisme qui ne soit pas celui de l'exotisme mais celui de la vie, il pourra jalonner cette distance et peut-être, si le coeur est bon, la raccourcir un peu.