Alors, il faut mettre, une fois de plus, le feu aux poudres de la fiction. Il faut reprendre le collier, creuser les sillons et s’enfoncer à nouveau dans mes histoires pour donner une forme à tout ce qu’on a laissé derrière et qu’on arrive pas à oublier. Il faut tout raconter, fabriquer et fabuler pour donner une voix à lulus à ce que j’ai eu si peur de perdre qu’il m’a fallu, comme un con, abandonner.