Parce qu'il était haï des opposants, parce qu'il exaspérait les bonapartistes, des jaloux, des ambitieux ou d'autres plus sincères, qui voyaient en lui un obstacle à la refondation populaire du régime, Haussmann apparaissait comme le maillon faible qu'il convenait de faire sauter pour accoucher d'un Empire libéral. C'était à qui l'abattrait le premier.