Contrairement à Maître Odrik, je n’étais pas un cognar. Jusqu’à ce que Maître Toëk vienne me tirer de ma tanière, ce que j’avais manié de plus dangereux était mon équerre et mon compas. Mais les milliers de générations qui m’avaient précédé n’avaient pas survécu en grattouillant sur un tableau noir. La mémoire du sang est une chose puissante qui ne demande qu’un prétexte pour s’éveiller.