L'été s'acheva et l'école reprit. Nous devions chanter pour le maréchal Pétain en nous tenant bien droit à côté de nos pupitres. Naturellement je n'y parvenais pas, mes jambes me dérangeaient, mes mains refusaient de rester collées contre mes cuisses mes cheveux se rebellaient et je me faisais régulièrement reprendre par madame Lair.
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