Je me sens ficelé, ciselé. Je hais notre société de confort. Le positivisme et la bonne humeur. J’ai été façonné autrement. Dressé. Névrosé comme un chien. Le bonheur des gens, leur bien-être m’écœurent. Je n’arrive pas à tenir mes émotions à distance – je suis même prêt à me laisser entièrement dominer par elles. (page 164)