Je pense que c'est à cela que doit ressembler l'enfer, quand vous êtes comme enterrée vivante dans votre propre corps, enveloppée dans un nuage de douleur qui palpite, qui tord, qui se contracte, tandis que votre esprit fiévreux, malade d'inquiétude et de chagrin, lutte désespérément pour sortir, pour trouver le soulagement, sachant en même temps que le soulagement ne sera plus jamais possible. (p 375)