Chez nous, l’on chante sous les fenêtres à la veille de Noël des strophes que l’on appelle koliadki. Le maître de maison, ou la ménagère, ou enfin les gens restés au logis jettent à ces chanteurs qui une andouille, qui une miche, ou une pièce […], enfin chacun selon ses moyens.