Jeudi 30 mars 1944
(...) Les nouvelles de ceux qui sont tombés à la guerre n'en finissent plus, et pourtant tout le monde croit encore à la victoire. Comme l'espoir de l'homme est trompeur ! Une fois de plus, un de mes élèves est tombé, Friedrich, il n'avait pas dix-huit ans. On entend sonner le glas, il y a tellement d'enterrements qu'ils ne sont plus aussi solennels qu'au début de la guerre, ils sont trop nombreux. (p. 139)