Nous leur reconnaissons à présent une sensibilité, des formes d’intelligence, voire des « visions du monde », qui méritent d’être découvertes et respectées. Cela nous donne des devoirs envers eux, à commencer par le premier, qui nous impose de ne plus les faire souffrir inutilement. Cela nous oblige aussi – puisque je suis vétérinaire – à tout faire pour les soigner.