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Critiques de Noriyuki Konishi (30)
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Yo-Kai Watch, tome 1

Voilà un moment que je voulais tester ce manga, qui connait un assez grand succès d’après ce que j’ai pu voir. Le titre se décline sous plusieurs formes, comme un anime et surtout des jeux-vidéo. Mais le manga reste l’œuvre originale, et je voulais donc commencer par elle.



L’histoire nous raconte comment un petit garçon prénommé Nathan va par hasard tomber sur un distributeur de capsule (très répandu au Japon) qui va délivrer Whisper, un fantôme qui se décrit comme un Yô-Kai. Très rapidement, ce dernier va s’auto-proclamer majordome de Nathan et va lui offrir une montre, lui permettant de trouver d’autres Yô-Kai.



Ceci constitue le premier chapitre, donc autant dire que tout va assez vite. La lecture se fait d’ailleurs très simplement, les dessins son corrects, bien qu’un peu trop ronds à mon gout. Il n’y a pas de difficulté dans la lecture, la découpe des cases est simple et on identifie parfaitement tous les personnages. Si je devais pinailler sur les dessins, je dirais que les personnages sont trop souvent sur un fond blanc, mais bon, ce n’est qu’un détail.



J’ai passé un agréable moment de lecture, même si j’ai deux ou trois griefs. Il faut savoir que cette série est destinée aux plus jeunes (6-12 ans) mais peut très bien être lue par des adultes, pour peu que vous cherchiez une lecture détendante et tranquille. Je ne me suis pas ennuyé du tout, mais j’ai trouvé qu’il manquait clairement un scénario.



On nous présente ce titre comme le nouveau Pokemon, or Yô-Kai Watch (en tout cas pour ce premier tome) est clairement en dessous. Déjà, notre héros n’a aucune raison de partir à l’aventure, donc il reste tranquillement dans sa ville, on suit son quotidien et sa rencontre avec les Yo-Kai au fil des chapitres. Du coup je n’ai pas retrouvé cette sensation d’aventure que j’aime bien.



Ensuite, je trouve que les Yô-Kai sont sous exploités. Après avoir rencontré Whisper, Nathan va se lier d’amitié avec son premier Yô-Kai, et il pourra l’invoquer quand il le souhaitera. Contrairement à Pokémon, les Yô-Kai ne restent pas enfermés dans une capsule, ce qui est une très bonne chose.



Chaque chapitre va nous présenter une situation, avec un nouveau Yo-Kai qui va devenir ami avec Nathan. Donc suivant les embuches, on se dit que Nathan pourra compter sur un bestiaire assez riche et varié. Sauf qu’il appelle toujours le même Yô-Kai, à savoir le premier qu’il a rencontré : Jibanyan. Du coup, on se demande à quoi servent les autres ? C’est un peu dommage, mais ce n’est que le premier tome, j’espère qu’une intrigue se mettra en place dans les tomes suivants, sinon, cela risque de lasser. Car même si c’est du junior, je pense que les enfants ont droit à un minimum de scénario. J’ai découvert Dragon Ball quand j’avais dix ans, et il y avait plus de scénario que dans Yo-Kai Watch, c’est d’ailleurs pour ça que j’ai aimé ce titre.



Ensuite, j’ai un petit coup de gueule contre celui qui a changé les noms et prénoms des personnages. Je ne sais pas si c’est le traducteur qui s’en occupe, la maison d’édition française ou japonaise, mais je trouve dommage que le personnage principal s’appelle Nathan Adams alors que dans la version originale il s’appelle Keita Amano. Cela dénature le titre car l’histoire se passe au Japon et non en France.



Alors, j’en entend déjà me dire, que comme c’est destiné à un public jeune, il est plus simple de nommer une personnage avec un prénom plus européen que japonais. Là-dessus je suis d’accord. Mais en ce cas, pourquoi avoir laissé un personnage s’appeler Whisper ou encore Jibanyan ? Si vous trouvez que Keita est difficile pour un petit enfant français, alors Whisper et Jibanyan le sont tout autant ! Je n’aime pas que l’on fasse dans la demi-mesure, soit on traduit et on adapte tout, soit on ne le fais pas. Je ne vois pas en quoi un nom japonais serait plus difficile à prononcer qu’un nom anglais ?



Bref, ce petit coup de gueule, comme souvent ne concerne que moi, et cela ne change rien à l’histoire. Mais c’est vrai que je n’aime pas que l’on dénature une œuvre pour la rendre plus accessible pour les autres, on a l’impression que l’on prends nos enfants pour des idiots et cela a tendance à m’agacer.



J’espère surtout qu’un bon scénario va se mettre en place par la suite, sinon ça risque de lasser. En tout les cas, Yô-Kai Watch est une lecture agréable, détendante pour petits et grands et qui fait un bien fou en ces temps pas très joyeux.


Lien : https://chezxander.wordpress..
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Yo-Kai Watch, tome 6

Déjà le tome 6 de Yo Kai Watch !



Nathan, Whisper et Jibanyan continuent de découvrir de nouveaux Yo Kai.

Malgré un scénario qui se répète, je ne m'en lasse pas car ça me fait toujours autant rire...surtout les maladresses de Jibanyan et la malchance de Whisper !



PS : après Jibanyan, Diamanyan, Robonyan, Epinyan, Bandinyan et Shobunyan, découvrez dans ce tome...Pastènyan !
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Yo-Kai Watch, tome 5

Un petit regain d’intérêt avec ce tome 5. On nous introduit plusieurs petites choses, comme l’existence de Yo-kai ancestraux, les Yo-kai “classiques” ; 3 d’entres apparaissent successivement (évidemment, le hasard fait bien les choses) et on s’aperçoit que leur but premier est avant tout de faire peur aux gens. Nathan use une fois de plus de son sourire désarmant pour les convaincre de lui accorder leur amitié. On apprend aussi que certain Yo-kai peuvent se métamorphoser (et pas seulement Jibanyan), dans le jeu il faut apparemment un certain objet mais ici c’est le contexte qui permet cette métamorphose. Dernière révélation - si on peut appeler ça comme ça, c’est surtout une réponse à une question que j’avais poser à propos des tomes précédents - Shogunyan, le fantôme-Yo-kai peut bien être invoqué mais il garde sa constitution de fantôme, sauf quand Jibanyan est dans les parages : il peut alors le posséder pour avoir un corps solide. Et contrairement à son descendant - Jibanyan - il a une certaine classe, il ne se ridiculise pas au combat. On fait aussi connaissance avec des Yo-kai étrangers, venant d’une autre région du Japon ou avec un petit côté américain. On sait maintenant que les Yo-kai ne se concentrent pas uniquement dans le quartier de Nathan.

J’ai aussi bien aimé certains Yo-kai rencontrés, leurs pouvoirs me semblent plus “sérieux” et plus impressionnants : Angélik, que j’ai trouvé aussi mignonne que glaçante avec sa capacité à geler rien qu’avec un soupir ; Jouvencia, qui aspire l’essence vitale pour rester jeune,… Un bon petit tome que j’ai pris plaisir à lire, même si l’utilisation de Jibanyan est toujours trop présente :’)
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Yo-Kai Watch, tome 3

Plutot agréable même si c'est encore la même sauce jusqu'à l'indigestion.

Les chapitres sur les yokai seuls, même s'ils changent la recette, ne sont d'ailleurs pas mes préférés.

Je ne continuerai pas mais je suis quand même bien plus intrigué que par Beyblade burst hier
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Yo-Kai Watch, tome 1

Hey, c'est bien plus efficace que Beyblade.

Un peu la même forme mais avec des petites histoires personnelles qui fonctionnent bien (comme dans les premiers tomes de Shaman King).

Et surtout lunivers fonctionne bien mieux en ayant un vrai sens et un réel intérêt avec sa personification des problèmes.
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Yo-Kai Watch, tome 7

Retrouvez Nathan et ses amis yo kai dans ce tome 7 qui reste fidèle à la recette appliquée par l'auteur depuis le début : Nathan est confronté à un yo kai différent à chaque chapitre, et finit par devenir son ami.



Comme d'habitude, il introduit également une variante de Jibanyan, son yo kai fétiche, je vous laisse la découvrir. Certes, c'est toujours un peu la même chose, et l'intérêt tient essentiellement dans l'originalité des yo kai rencontrés et dans le ton humoristique, notamment grâce à Jibanyan. Sans doute que l'auteur commence à s'en rendre compte puisqu'il met en scène un chapitre différent à la fin, dont l'intrigue fait un peu écho au film sorti il y a quelque temps au cinéma.
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Yo-Kai Watch, tome 2

Pas d'énormes conséquences mais c'est plutôt agréable. Les yokai sont attachants et agréables à suivre.

C'est répétitif mais sans être encore redondant puisque les traitements sont différents.

Je ne suis pas spécialement le public visé mais c'est plutôt bien fait.
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Yo-Kai Watch, tome 4

J'ai emprunté ce livre à ma sœur juste pour essayer car je n'avais jamais regardé la série malgré le fait que j'en ai beaucoup entendu parler. Ce manga est plutôt interessant, cependant je trouve qu'il y a pas mal de similitude avec pokémon. Mais ce n'est pas un livre que je relirais des centaines de fois. Je lui mets donc 4 étoiles.
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Yo-Kai Watch, tome 6

Ça alors ! Un nouveau Yo-kai qui ressemble trait pour trait à Jibanyan… Excepté la pastèque qui lui sert de tête. On introduit ici le traditionnel jeu de la pastèque, un petit point culturel bien sympathique (j’aime beaucoup ce jeu de la pastèque). C’est aussi le bref retour de Crocho, ce cochon qui ne veut pas être ami avec Nathan. On l’aperçoit au détour d’une rencontre avec Jibanyan. Ce dernier est d’ailleurs plus présent que Nathan dans le manga, à se demander qui en est le personnage principal. On voit beaucoup de chapitres (plus de la moitié du tome 6) consacrés à ses déambulations, quand il n’est pas sollicité par Nathan.

Pas grand chose de nouveau dans ce tome 6, les Yo-kai étaient moins impressionnants, exceptés ceux qui contrôlent les éléments comme la pluie ou le soleil : une belle bataille, pour changer.
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Yo-Kai Watch, tome 1

Dans ce premier volume nous découvrons l’univers de Yo-Kai Watch en compagnie de Nathan Adams, un petit garçon tout ce qu’il y a de plus ordinaire. D’ailleurs, il le dit lui-même qu’il se trouve dans la moyenne des autres enfants de son âge. Notre héros se retrouvera malgré lui plongé dans des aventures surnaturelles où il rencontrera des Yo-Kai, des êtres possédant des pouvoirs et pouvant être responsables des tracas du quotidien.



Il est possible de dire que « Yo-Kai Watch » est une franchise cross-média tout comme Pokémon vu qu’il existe, en plus du manga, un anime et un jeu vidéo ainsi que des produits dérivés tels que les médaillons Yo-Kai. Bien que certaines personnes voient cette franchise comme un Pokémon bis, ce n’est pas du tout le cas et tant pis pour ceux qui ne voudront pas tenter à cause d’aprioris… Stupides. Personnellement, je l’apprécie vraiment cette petite franchise alors que de base je suis une Pokéfan (et une Digifan) et je ne regrette pas du tout de l’avoir tentée ♥



Nathan est le seul à voir les Yo-kai à l’aide de la Yo-kai Watch, une montre produisant un faisceau lumineux les faisant apparaître, et s’avère également être le seul à pouvoir devenir ami avec eux. Logique me direz-vous vu que lui seul les voit. Whisper, le Yo-kai majordome, qui accompagne Nathan lui permet d’en savoir plus sur les différents êtres qu’ils rencontrent durant les chapitres, mais pas seulement. Non, notre petit fantôme n’hésite pas à protéger Nathan lorsque cela s’avère nécessaire même s’il est lui-même un danger public. Bon, d’accord, on va dire qu’il est un grand maladroit *tousse* Du côté de l’histoire, elle est assez simple à suivre étant donné qu’un chapitre est une mésaventure vécue par Nathan – ou l’un de ses amis – et permettant la rencontre avec un Yo-kai



Le manga est rempli d’humour ce qui pourra plaire aux jeunes lecteurs – le public cible – mais également aux plus grands. Oui, les différents passages m’ont fait sourire voire légèrement rire à certains moments et je suis loin d’être une petite fille (Bon, je vais devoir travailler avec des petits bouts mais ça n’a rien à voir) D’ailleurs, chaque chapitre possède une morale pouvant être comprise sans trop de problème par les enfants et utilisant les Yo-Kai comme éléments déclencheurs ou éléments perturbateurs. Tout le monde trouvera même un Yo-kai qu’il appréciera un peu plus que les autres soit pour son apparence, soit par rapport à ce qu’il représente. Ayant joué au jeu vidéo j’ai déjà mes chouchous, mais je ne vous les dirai pas ici.



Le dessin est assez rond et simple en soi, mais permet de reconnaître les personnages et les Yo-kai du premier coup d’œil ce qui n’est pas du tout un défaut pour l’œuvre. Les humains sont tout aussi différents que les êtres venant les embêter de temps en temps et je me demande comment seront les prochains à apparaître. Si l’on retire la couverture, vous pourrez découvrir l’un des gags parsemant ce premier volume de la licence.



L’édition proposée par Kazé, dans la collection Kazé Kids, est de bonne facture et ne risque pas de voir ses pages partir seules sans que l’on ne comprenne la raison pour laquelle cela arrive. Les pages sont comme toujours assez épaisses évitant ainsi aux dessins se trouvant de l’autre côté d’apparaître sur la page que l’on lit si le soleil brille de trop, ce qui est assez casse-pied lorsque cela arrive il faut l’avouer.



En soi, cette lecture a été assez douce et m’a permit de passer un bon petit moment en compagnie des êtres que je connaissais déjà grâce au jeu vidéo de Level-5. De plus, le manga reprend certains passages de ce dernier bien qu’ils soient, parfois, retravaillés. L’une des éditions de ce premier volume permettait d’avoir, également, un médaillon Yo-Kai de Jibanyan Fureur du chaton pour les collectionneurs.



Par rapport à la suite, je suis tellement curieuse de savoir ce qui arrivera à Nathan et quel Yo-kai il découvrira que j’ai grandement envie d’avoir le tome 2 entre les mains ! Vivement sa sortie pour voir si le ton restera aussi léger ou s’il changera au fil des volumes comme cela arrive de temps en temps !
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Yo-Kai Watch, tome 1

L’univers Yo-kai Watch rencontre un succès fou au Japon et se voit dérivé à plusieurs niveaux : manga, jeux vidéo, une application pour smartphone, une série télévisée sans oublier une flopée de produits marketing autour de la licence avec des figurines, des médaillons, une Yo-kai Watch, des peluches et j’en passe. Dans la même lignée que Pokémon, Yo-kai Watch réussi plutôt bien son entrée en la matière en France avec les sorties d’un premier jeu vidéo développé par Level-5, de la diffusion sur Gulli de la série animée, de l’acquisition des droits DVD par Kazé, tout comme pour la série manga. Et c’est de cette dernière édition que je vais m’attarder ici en vous donnant mon avis sur le premier tome de Yo-kai Watch, disponible aux éditions Kazé.



Résumé de l’éditeur :

Nathan est un écolier tout à fait ordinaire. Alors qu’il se promène dans la forêt, il découvre Whisper, un Yo-kai très bavard... Ce drôle de personnage lui offre une Yo-kai Watch, une montre qui lui permet de révéler la présence des Yo-kai autour de lui ! Nathan va s’en servir pour convaincre les Yo-kai de devenir ses amis et d’utiliser leurs pouvoirs pour faire le bien. Le voilà embarqué dans une aventure extraordinaire !



Mon avis :

Ce premier tome ne perd pas de temps à démarrer, Nathan, un jeune garçon qui se promène en forêt s’arrête un instant devant un arbre car il y voit une machine à boules (manicrac). Ni d’une ni deux, il teste la machine, une boule de pierre en ressort, il l’ouvre et voilà qu’une créature Yo-kai du nom de Whisper en jaillit. Dès lors, ce dernier devient son Majordome. Whisper continue alors les présentations et propose à Nathan qu'il devienne l’intermédiaire entre les Yo-kai et les humains. Il lui offre alors une Yo-kai Watch, une montre qui lui permet de voir les Yo-kai et il fera aussitôt la connaissance de Jibanyan un Yo-kai chat. Leur rencontre est assez originale, percutante même, Jibanyan étant de première abord un peu barré et les dessins sont là pour le confirmer.



Whisper entreprend une certaine éducation du monde surnaturel ici présent avec la rencontre de plusieurs Yo-kai en cours de ce tome. D’ailleurs, chaque chapitre embarque la rencontre avec un Yo-kai, le scénario est entrecoupé de ces chapitres qui sont à prendre telles de petites péripéties que Nathan va vivre tout au long de ce premier tome sans oublier que ses amis sont eux aussi mis en avant. Son Majordome lui inculque donc le savoir nécessaire sur ces nouvelles créatures tout en le protégeant au besoin. Les mésaventures de notre héros sont plutôt joviales mais peuvent tout aussi bien s’avérer plus compliquées, légèrement plus machiavéliques. Tous les Yo-kai ne font pas forcément preuve de sympathie mais quand l’un d’eux devient ami avec Nathan alors ce dernier récupère un médaillon Yo-kai, symbole de leur amitié.



Le lecteur appréciera sans aucun doute les mimiques affichées ici, que ce soit sur les visages humains ou sur ceux des Yo-kai. Par moments, les expressions faciales sont vraiment poussées à l’extrême et je trouve cela fort plaisant. J’aime beaucoup les dessins proposés ici avec des personnages aux gros yeux, des visages bien rondouillets qui ciblent clairement le jeune public, mais les plus grands (je me vise étant moi-même un grand enfant dans l’âme) y trouveront un certain charme. Les décors sont bien présents bien que restant assez standards dans l'ensemble, le trait est simple et vif à la fois, notamment en présence de scènes d’action plus rythmées.



L’humour présent dans ce premier tome de Yo-kai Watch est plutôt bien amené et Noriyuki Konishi maîtrise bien le sujet. J’ai à plusieurs reprises souris et même ris voyant certaines expression faciles. Mais l’humour ne fait pas tout, ici l’auteur nous offre en plus diverses leçons de morales (dispute, ne pas gaspiller la nourriture…) que les jeunes enfants ne peineront pas trop à comprendre, le manga leur étant bien adapté. Et si le lecteur est aussi joueur du jeu vidéo, il appréciera de retrouver le comportement et le chara-design des Yo-kai proche d'une support à l'autre et je suis sûr qu’ils ne manqueront pas d’évoquer une certaine préférence ou attachement à tel ou tel Yo-kai.



J’aime assez la découpe affichée ici où certaines actions sont bien dynamiques, les attaques de Jibanyan me faisant toujours sourire. J’ai bien aimé voir Jibanyan dégommer Nathan et Whisper quand son médaillon a été inséré dans la Yo-kai Watch, car il faut savoir que quand Nathan invoque un Yo-kai, il ne sait pas à quoi ce dernier était occupé. L’intrigue est assez simple mais ne manque pas de bien introduire le sujet principal qui devrait évoluer pour la suite des événements. L’édition proposée par Kazé est de bonne facture, avec un format Kids bien adapté, des pages de bonnes qualités et une petite histoire bonus en guise de supplément. Je regrette toutefois la simplicité de la couverture ne mettant en avant que Nathan et Whisper sous un fond blanc, j’aurais apprécié qu'un décor soit affiché en arrière plan.



Ayant joué au jeu vidéo du même nom dans lequel j’ai passé un bon moment, je peux vous annoncer que j’ai eu le même ressenti lors de la lecture de ce premier tome de Yo-kai Watch. Comme dans le jeu vidéo ou l’animé même, il y a beaucoup de dialogues, ce qui détaille bien les scènes entreprises ou les explications sur l’univers et ses créatures surnaturelles. Les joueurs du jeu vidéo retrouveront d’ailleurs certaines scènes dans le manga, bien qu’elles soient vécues d’une autre manière. Aussi, ce premier tome ne manque pas de d’afficher toutefois deux ou trois scènes que je ne qualifierai pas de violentes dans le fond mais ce n’est pas loin de l’être de premier abord.



« Pas de souci à se faire en compagnie de ce premier tome de Yo-kai Watch qui offre les bases nécessaires pour bien intégrer cet univers surnaturel. Les mésaventures de Nathan ne manquent pas de piquant ni d’humour ! »
Lien : http://www.jegeekjeplay.fr/2..
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Yo-Kai Watch, tome 1

Mon fils a été fan il y a quelques temps. Entre les jeux vidéos, la série télé, les médaillons à collectionner, la franchise pouvait faire un carton comme les pokemon. Mais son succès est vite retombé.



Pour un challenge je me suis laissée embarquer dans cette histoire assez simple avec un jeune garçon Nathan Adams et des esprits japonais. Nathan est un écolier très ordinaire qui a trouvé par hasard une machine à boule d'où a surgi un yokai majordome qui se met à son service. Whisper est le domestique le plus catastrophique qui soit, incompétent, un boulet. Nathan découvre grâce à lui le monde des yokais invisibles aux humains sans l'aide de la yokai watch, qui sont responsables des événements inexpliqués la fatigue, la déprime, les disputes sans raison apparente. Ils influencent notre humeur en accentuant un trait de caractère.



Bonne lecture pour les plus jeunes, entre 6, 12 ans. Après ça peut être une histoire un peu simpliste, l'articulation entre les différents chapitres n'est pas aussi évidente que dans la série.
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Yo-Kai Watch, tome 7

On voit enfin apparaître un des yo-kai qui m'intriguait le plus dans le jeu : Octorgone. Bon, ici, il n'a pas THE role, mais il a quand même droit à un chapitre un peu plus conséquent, c'était sympa :) Après, se succèdent encore des yo-kai qui nous marquent plus ou moins. On mettra une fois de plus l'accent sur l'humour autour des déambulations de Jibanyan. Et surtout, on rencontre un nouveau sosie de Jibanyan, un vampire cette fois-ci ; et on n'oubliera pas le défilé des sosies de Jibanyan rencontrés précédemment.

A part Octorgone, ce que j'ai le plus retenu, c'est le passé de Whisper, le majordome Yo-kai dont on ne sait rien finalement. J'ai adoré en savoir plus, sur son ancien maître, sur le passé… On mentionne quand même - vaguement mais bon - la bataille de Sekigahara ! En gros, j'ai adoré les 1er et dernier chapitres du manga, qui sortaient un peu de la monotonie de la série.
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Yo-Kai Watch, tome 1

Petit manga sans prise de tête, on suit l'aventure du personnage au même rythme que les yo-kaï qu'ils rencontrent.

Aventure avec péripéties toujours réglées avec ses monstres de poche, il fait preuve d'une détermination sans faille pour un garçon de son âge.

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Yo-Kai Watch, tome 1

Objectivement je pense pouvoir dire que c est le genre de manga idéal pour débuter dans ce type de lecture quand on est un jeune voir très jeune public . Simple, drôle, frais et adapté. On suit les histoires de Nathan qui découvre l univers des Yo kai et qui s en fait des alliés.
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Yo-Kai Watch, tome 4

Dans le tome précédent, on a eu pleiiiiin de pages bonus sur des nouveaux yo-kai (tous mettant Jibanyan en scène, évidemment). Des Yo-kai qui auront pour la plupart droit à un chapitre dans ce tome !! Bonjour la répétition... Je commence à me lasser de plus en plus de ce manga... Je continue à le lire par curiosité, mais plus avec ce (petit) enthousiasme que j'avais au début...

Et encore une fois l'auteur recycle Jibanyan, en faisant intervenir un yo-kai chat robot qui se trouve être Jibanyan dans le futur... Et bien sûr Nathan va devenir ami avec lui et pouvoir l'invoquer quand il veut, même s'il vient du futur (whaaat ?).
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Yo-Kai Watch, tome 3

On voit enfin apparaître Katie ! J'aurais aimé qu'elle ait un rôle plus consistant, qu'elle aussi ait une Yo-kai Watch et parte à la chasse aux yo-kai... Plutôt que de la reléguer au rôle de "la plus belle fille de l'école" sans intérêt... Pourquoi donc je dis ça ? Parce que dans le jeu on a le choix entre son personnage et celui de Nathan : forcément, j'ai choisi Katie... Et la voir reléguer au rôle de cruche, bof bof... Le scénario m'aurait plus intéressé s'ils faisaient équipe, comme dans Pokemon en fait (oui, faut pas se leurrer, ces deux licences sont bien trop semblables... :')).

Et une fois de plus l'auteur recycle Jibanyan, en faisant intervenir un yo-kai chat diamant (mais qui n'a aucun lien avec jibanyan, pour une fois).
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Yo-Kai Watch, tome 2

Dans la continuité du tome 1, on est toujours dans ce découpage 1 chapitre = 1 rencontre avec un Yo-kai. Pas de grandes révélations dans ce tome, si ce n'est qu'on sait que Nathan ne devient pas systématiquement ami avec les yo-kai lors de la première rencontre. Ce que l'on savait déjà si on connait le jeu vidéo. Petite incohérence pour le Shogunyan - un yo-kai chat une fois de plus - (ou pas, faut voir par la suite) : celui-ci est un fantôme mais il devient yo-kai en prenant possession de son descendant Jibanyan (ah bah oui, encore lui, il apparaît à chaque chapitre), du coup Nathan devient ami avec lui et obtient son médaillon Yo-kai... Sauf que bon, il reste un fantôme, est-ce possible ? Pourra-t-il l'invoquer ou sera-t-il obligé d'invoquer Jibanyan avant pour qu'il le possède ? Pour moi c'est assez confus pour le moment (et pas très crédible :')).

Et qui retrouve-t-on en couverture ? Jibanyan ! Comme sur toutes les prochaines couvertures... Je ne dis pas que je ne l'aime pas au contraire xD Mais l'auteur en joue trop, j'aimerais voir plus les autres yo-kai.
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Yo-Kai Watch, tome 1

J'avais envie de découvrir ce manga depuis un moment. Surtout après avoir commencé le jeu vidéo (et aussi parce que j'aime bien la chanson "Youkai Taisou Daiichi" haha). Ici, pas de surprise, on suit quasiment le même scénario : Nathan, un écolier tout ce qu'il y a de plus normal, tombe par hasard sur un distributeur de capsules abandonné : bien sur, il pense tout de suite à insérer une pièce pour le tester (pas forcément la première idée qui me serait venue à l'esprit - j'aurais donné un coup de pied dedans pour ma part, pour voir si une capsule tomberait). La capsule qui va en sortir va se révéler être Whisper, un Yo-kai fantôme, qui va introduire Nathan au monde des Yo-Kai : ceux-ci sont partout, et seul le détenteur d'une Yo-kai Watch peut les voir : devinez qui va en recevoir une ? Voilà Nathan parti à la chasse aux Yo-kai pour s'en faire des amis, accompagné de Whisper qui devient son "majordome". Alors, on ne va pas dire que Nathan va "partir à la chasse" mais plutôt qu'il va vivre sa vie et tomber parfois sur des Yo-kai : lorsque les gens changent subitement de personnalités ou lorsque qu'un trait de caractère est exacerbé, c'est qu'il y a un Yo-kai là dessous ! Ce qui est bizarre, c'est que ça arrive quand Nathan commence son aventure, comme s'il n'y avait jamais eu de changements aussi subitement avant... comme si les yo-kai se décident d'agir quand Nathan obtient sa Yo-kai Watch. Bref, niveau scénario, on repassera...

Le premier yo-kai que Nathan va rencontrer est Jibanyan ; et on va s'en souvenir parce qu'il ne fait QUE l'appeler ; l'auteur sait que le personnage est populaire et avoue lui même l'utiliser et le décliner (suffit de lire la suite ou de simplement regarder les tranches et couvertures/dos... Jibanyan et des Yo-kai lui ressemblant beaucoup y apparaissent) pour cette raison. Il n'y a que sur la couverture du tome 1 que l'on voit Nathan. Bref, je reprends sur l'histoire. Après avoir rencontré Jibanyan, chaque chapitre sera dédié à un Yo-kai et Nathan s'en fera systématiquement un nouvel ami. Pour le début, on suit beaucoup le scénario du jeu vidéo, avec la dispute des parents de Nathan, les conditions d'apparitions des Yo-kai qui sont quasiment les même... Rien de bien nouveau.



Ma curiosité est assouvi, mais je trouve le scénario trop simple, et je ne suis pas spécialement fan du découpage en mini-chapitres sans lien entre eux... Un manga qui fait passer le temps.

Par contre, je suis frustrée, je ne trouve jamais le cinquième gag en 4 cases... à part pour le tome 3, si le gag sur la jaquette compte... Quelqu'un peut m'éclairer ? :'D Je soupçonne la jaquette, mais le livre de la biblio est recouvert, pas possible de la soulever.. J'ai regardé à travers (avec la lumière), mais ça n'en a pas l'air.
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Yo-Kai Watch, tome 10

Comment ne pas être accroc à ces petits monstres adorables, qui malgré leurs méchancetés deviennent finalement de vrais petits anges (enfin presque ^^)

Une fois qu'ils ont rencontré Nathan en fait ^^

Vivement sa parution que je puisse m'en délecter :)
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