Il neige, c’est une chance pour moi car l’éleveur devient disponible. Il se met sous l’abri de toile et je le rejoins. Quelques lamelles de bois sont prêtes à être enflammées. Je m’assieds sous l’ouverture centrale où tombent de petits flocons. Que ne faut-il pas supporter pour interroger un éleveur de yaks au bout du monde, dans les Himalayas !