Oliver Pötzsch

Son regard erra le long des parois sales de la cellule, sur lesquelles d’innombrables détenus avaient gravé leur nom, mais aussi des prières et des grossièretés. Le capitaine n’avait pas entièrement fermé la petite lucarne, si bien qu’un mince rayon de lumière éclairait les gribouillages des désespérés. Chaque inscription racontait un destin, une histoire, témoignait d’une vie qui avait probablement pris fin bien trop tôt et de façon atrocement douloureuse.

Chapitre 4