Olivia Harvard

Les mots sont des armes. On peut s’en servir pour infliger la plus atroce des souffrances ou pour exprimer les plus belles choses. Pour manipuler, influencer la pensée, les croyances, les émotions. […] Un discours bien affûté peut s’imprimer dans la mémoire, et il est parfois plus difficile de se remettre de ce genre de traumatisme que de guérir d’une blessure par balle.

Au cours des dix-huit dernières années de mon existence, je n'ai assisté qu'à deux enterrements. Le premier était celui de mon grand-père, décédé d'un cancer. Ce n'a pas été une expérience pénible. Je ne veux pas paraître insensible en disant cela, mais l'événement était prévisible. Ma famille et moi y étions préparés depuis des mois, nous lui avions fait nos adieux et avions passé le plus de temps possible à ses côtés. Nous savions que cette fin était inéluctable.
Les funérailles de Colton étaient dix fois plus difficiles à supporter parce que je n'avais pas envisagé sa mort. Personne ne l'avait anticipée. Mon estomac n'était qu'un nœud, j'étais effondré. Et ça empirait : j'avais l'impression qu'au moindre mouvement brusque j'allais imploser.

Si tu as trouvé cette lettre, ça veut dire que j'ai bien fait mon boulot.

C’est beaucoup plus facile d’obtenir des réponses quand les gens ne savent pas qui tu es. Ou quand ils pensent que tu es quelqu’un d’autre

Les mots sont des armes. On peut s'en servir pour infliger la plus atroce des souffrances ou pour exprimer les plus belles choses. Pour manipuler, influencer la pensée, les croyances, les émotions.

Les mots sont des armes. On peut s'en servir pour infliger la plus atroce des souffrances ou pour exprimer les plus belles choses. Pour manipuler, influencer la pensée, les croyances, les émotions.

" Un discours bien affûté peut s’imprimer dans la mémoire, et il est parfois plus difficile de se remettre de ce genre de traumatisme que de guérir d’une blessure par balle. "

" Nous faisons entièrement confiance à ceux que nous aimons et les conséquences peuvent être douloureuses "

" Les mots sont des armes. On peut s'en servir pour infliger la plus atroce des souffrances ou pour exprimer les plus belles choses. Pour manipuler, influencer la pensée, les croyances, les émotions. "

" La souffrance a parfois un effet domino "

"Les mots sont des armes. On peut s'en servir pour infliger la plus atroce des souffrances ou pour exprimer les plus belles choses. "

"Elle y tenait beaucoup, selon elle ces taches étaient des constellations solaires, un cadeau que lui offrait le ciel en été."

"Seul un imbécile sous-estimerait une femme."

"Pour la première fois depuis une éternité, mon pouls s'accélérait pour une autre raison que la panique. C'était addictif. "

Le soleil couchant me caressait la nuque ...

Les mots sont des armes. On peut s'en servir pour infliger la plus atroce des souffrances ou pour exprimer les plus belles choses. Pour manipuler, influencer la pensée, les croyances, les émotions [...]. Un discours bien affûté peut s'imprimer dans la mémoire, et il est parfois plus difficile de se remettre de ce genre de traumatisme que de guérir d'une blessure par balle.

Il n'y a aucun doute : les actes criminels irrationnels découlent de la folie, or la folie elle-même n'est jamais que le résultat d'une imagination laissée totalement libre. On pourrait déduire de ces observations que les assassins sont des génies à l'imagination débridée et que le reste de la société est aujourd'hui incapable de rêver. C'est sans doute pour cela que des gens comme moi se retrouvent enfermés : parce que les pensées des assassins sont des créations si originales que le monde les considère comme dangereuses.

J’ai du mal à me projeter dans l’avenir parce que je suis torturé par mon passé.

Votre plus grande faiblesse est la famille

Nous faisons entièrement confiance à ceux que nous aimons et les conséquences peuvent être douloureuses.