L'homme moderne en est venu à détester ce qu'il aime, sans avoir trouvé d'alternative crédible à la forme de société qui définit son identité. La maîtrise de la nature, la croissance, la prospérité se soldent par l'instrumentalisation généralisée, l'écrasement des cultures, la perte du sens, la désaffection de la vie publique et peut-être même pour la vie privée. (p.85)