Je crois qu’au fond je suis comme tous ces gens qu’on a ramassés à la petite cuiller un beau matin. Et qui s’en sentent redevables (à vie) pour toujours. La première main qui s’était tendue après la mort de Clara (sa sœur), des années après, c’était la sienne. Ça aurait pu être celle de n’importe qui, je crois que je l’aurais prise. Et qu’encore aujourd’hui j’en baiserais le moindre doigt avec gratitude.