On s’impatiente vite dans les transports en commun et leurs environnements inhospitaliers. Un jour il faudra demander à des scientifiques de faire une étude sur le sujet afin d’expliquer les causes qui conduisent l’être humain à l’empressement dans ce type de lieu ; ces mêmes spécialistes qui se demandent pendant des mois si les chats reconnaissent vraiment leur prénom puis qui s’inquiètent sérieusement de l’influence des plantes sur notre moral après le passage à l’heure d’hiver.