La première chose qui le frappe est l'odeur de cagibi du bungalow, et la voix chevrotante de son père. Autrefois virile et impérieuse, elle l'avait impressionné, enfant, pendant leurs vacances à la montagne. Mais Rolf ne se laisse pas émouvoir, ni par les larmes que le vieux a versées en l'accueillant, ni par sa main droite difforme et son regard de bête traquée.