Le cyclisme et le Tour font partie de l’arrière-fond de juillet, un peu comme la couleur du ciel ou du sable, comme la douceur tant attendue du vent passant sur la gorge ou froissant en silence la surface de l’herbe drue. Arrière-fond sonore d’une télévision devant laquelle on s’étire aux heures chaudes dans la lumière filtrée par les stores. Qui ne s’est jamais endormi devant une étape du Tour de France ?