Les sanglots s’écoulent. Les larmes ruissellent. Quetzalquatl, seigneur serpent, je fais appel à ta puissance. Dieu de mes ancêtres, esprit de paix et de clémence, fais de ce fourreau la prison de ton éternel ennemi, Tezcatlipoca, miroir fumant, jaguar nocturne, car il exige de nouveaux sacrifices sur cette terre ! Les sanglots s’écoulent. Les larmes ruissellent. Je demande ta protection, Mescalito ! Vois la tristesse qui envahit mon âme. Retiens en ce fourreau celui qui n’aurait jamais dû s’éveiller à la vie. Itzapalotl ! Papillon obsidienne ! Car il a franchi la brèche d’entre les mondes, afin de perpétuer un rite sanglant.