Avec la mort venait une pulsion de vie, et quand il tuait, il désirait parfois sentir la chaleur d’une fille sous lui. Cette pulsion assouvie, il quittait ses amantes inconnues, sans promesse ni sourire. L’attirance était un état passager. Quant à l’amour, il n’y croyait tout simplement pas. Cette passion-là était une maladie imaginaire, un mot surfait, vendu par des poètes aux belles gens, aux hypocrites et aux lâches. L’amour servait d’excuse ou de prétexte.