Le théâtre est une forêt obscure qui s'épaissit à mesure qu'on avance... On y perd son visage aux basses branches mortes, les quelques gouttes de sang qui nous servaient de carte pour retrouver notre chemin sont en fait notre propre sang et nous tournons en rond. Et puis soudain, il n'y a pas plus grande ivresse que d'être perdu, plus rayonnante gloire que d’être dévoré par les ténèbres.