Ils roulèrent à vive allure sur une piste ombragée et plantée de platanes, doublèrent des carrioles chargées de foin, tractées par des carnes d’abattoir, pansues et opiniâtres, traversèrent de paisibles villages, chassant à l’occasion une poignée de truies jetées dans le dénuement effaré d’une venelle adossée à un tas de fumier. (pages 40-41)