Malgré la pauvreté et les maladies, les Sénégalais que je côtoyais étaient heureux et reconnaissants. Alors qu’en Europe la consommation de masse avait créé des décennies de générations en dépression, je découvrais que la clef du bonheur était sans doute dans le dénuement. Ces femmes et ces hommes qui n’avaient rien mais offraient tout.