N'en souffle mot à personne, oublie ce que tu as vu : l'oiseau, la vieille, la prison et le reste...
Car, si tu desserres les lèvres, d'imperceptibles frissons comme aiguilles de pin, le jour venu, te saisiront.
Et tu te rappelleras la guêpe, l'encre et le plumier d'enfant à la datcha, et les myrtilles que tu n'as jamais cueillies.