Certains passages de cette citation sont de nature à heurter un jeune public
Je suis retombé dans l’enfer des discussions à n’en plus finir, des heures passées à regarder les profils. Je déteste ces applications. C’est toujours pareil, des centaines de visages dont seulement quelques-uns attirent mon attention. Je leurs envoie un message, ils disent que je leurs plais, mais ils ne cherchent que du sexe sans âme. Ce n’est pas pour moi. Je ne sais pas est le plus frustrant, des lapins d’Alberto ou des heures passées en vain sur le téléphone. J’ai l’impression parfois d’être un puritain dans un monde totalement dévergondé. Je ne cherche pourtant pas l’amour de ma vie, mais pouvoir partager au minimum une conversation avec quelqu’un avant de terminer au lit. Sentir du désir et de la curiosité pour l’autre avant de l’embrasser, et non pas sauter sur le premier venu pour satisfaire mes besoins élémentaires. Je suis d’autre siècle, parait-il.
Certains passages de cette citation sont de nature à heurter un jeune public
Il m’a fait signe de venir à côté de lui, mais mon regard était hypnotisé par le sexe de Tony. Instinctivement, c’est vers lui que je me suis dirigé, et j’ai commencé à le sucer. La peau le recouvrait plus encore que sur les photos, enfermant cette fois complètement le gland. J’ai commencé à la faire glisser très lentement entre mes doigts. La peau de sa bite était très foncée, presque noire, et le gland qui est apparu progressivement était rose pale. J’ai décidé de lécher d’abord les testicules. Elles étaient recroquevillées sur elles-mêmes par l’effet de l’excitation. D’un coup j’ai entendu Josep pousser un grand râle, il jouissait. J’ai vu comment son sperme, blanc et épais, recouvrait une bonne partie du visage de Tony et de son crâne rasé. Tony doucement, a ouvert les yeux et a offert à josep un immense sourire, il était aux anges. Puis c’est moi qu’il a regardé, et de sa main il a conduit ma tête vers son gland pour que je le suce.
Certain passages peuvent heurter les plus faibles
C’est alors que nous nous sommes souvenus de la présence de Josep, que nous avions totalement oublié. D’un coup, il s’est mis à genoux sur le lit et nous a demandé ce qu’il pouvait faire. Sa présence en ce moment était loin d’être nécessaire, et j’ai compris à la réponse de Tony qu’il en pensé de même. Avec un grand naturel, il a proposé à Josep d’aller se doucher, puisqu’il avait déjà joui. C’était une manière à peine polie de l’adjoindre à quitter la scène… Mais Josep ne s’est pas démonté : il nous a montré fièrement son sexe, serte de taille modeste mois tout à fait dur, et l’a glissé entre noud deux visages. Mais Tony ni moi n’avons fait le geste de le sucer. Au contraire, nous l’avons esquivé afin de nous embrasser. Josep nous a alors lancé une bombe : je n’ai jamais essayé la double pénétration… Le regard du brésilien, immédiatement, s’est enflammé.