La terre est si belle, nos sens si puissants, les nécessités de la bouche si infimes, que, véritablement, il faut être venu au monde sans yeux, sans cœur, et rien qu’avec le besoin de dévorer, pour se réduire à écraser son semblable et à enlaidir l’existence plutôt que de préférer la justice, la pitié, le droit d’autrui au bonheur.