Jacques Gamblin, se moque de la notion de ressenti apparue depuis peu dans le langage médiatique : « Je ne reproche pas aux partis politiques traditionnels de ne parler écologie que les années bissextiles c’est-à-dire tous les quatre ans à l’approche de l’élection présidentielle, ou quand le gazon de leurs dirigeants se met à jaunir mais je ressens un profond malaise d’imaginer que nos enfants, nos petits-enfants et les leurs, accessoirement, payent et vont payer très cher cet irréalisme ou pour parler trivialement ce manque de couilles. »