“Même dans les romans (parfois) inaboutis de Sagan, il y a toujours un passage à sauver, qui justifie le livre tout entier. Il y a la confirmation d’un bonheur impossible à partager. C’est pour ça qu’il est bon d’ouvrir un Sagan dans le TGV ou l’avion. On tient en respect la malchance d’avoir eu une enfance heureuse.”