En marchant, j'ai repensé à ce que nous nous étions dit, vous savez le rêve derrière le rêve. Vous avez raison, le rêve d'aller au bout des 42 kilomètres n'est que la partie visible de l'iceberg. Nous prenons tous le départ d'un marathon pour réaliser des rêves beaucoup plus précieux et sans doute beaucoup plus profondément enfouis en nous que la seule ambition de repousser nos limites physiques.